Mon invité d’aujourd’hui, Farouk Karim, a 46 ans. Ses trois dernières années illustrent bien le fait que, dans la quarantaine, on peut se redéfinir et changer sa vie. Né à Madagascar, il est déménagé à Montréal tout jeune et s’est profondément intégré à la culture québécoise, peut-être au point de réprimer d’autres facettes de son identité. En 2020, il a frappé un mur et cru que sa vie était finie. Aujourd’hui, en 2022, il comprend mieux qui il est et ce qui compte pour lui, et se prépare à une toute nouvelle phase de sa vie.
Avec candeur et une certaine sagesse, Farouk me raconte
Le parcours migratoire de sa famille et la pression qu’il a ressentie en grandissant
Ses choix de carrière et ses orientations politiques de jeune adulte
La dépression dans laquelle il a sombré et comment il s’en sort progressivement
Le bonheur inattendu de cohabiter avec sa mère
Ses projets très concrets pour l’avenir.
Merci de partager ce délicieux moment avec nous.
Farouk Karim, en santé mentale